21 février 2008

un regard plein d'amour

 Giovanni_Bosco-1[1]


Il y a tout un plan de vie dans son visage.
Il est la trace d'une préférence,
 il est le privilège des petits, des pauvres,
la capacité de dépenser tout dans l'amour
et pour cela de devenir défi, contestation, folie pour les autres.
 
Un visage qui a une adresse, l'autel.
Qui a une passion: l'amour de la vie.
Qui a une joie.
 La joie de rencontrer, encore, l'homme d'aujourd'hui.
 

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20 février 2008

À 3 jours du Chapitre général

un évènement à ne pas manquer et à vivre "en communion" au départ de notre blog

logo[1]

 

"DA MIHI ANIMAS CETERA TOLLE"


Cet évènement est un rendez-vous important, parce qu’il offre aux salésiens les directions pour l’avenir et un nouvel enthousiasme pour leur action pastorale dans les années à venir. .
 
Le Régulateur du Chapitre, le père Francesco Cereda, qui est occupé par la mise au point des derniers détails du calendrier capitulaire, peut compter sur un riche réseau de collaborations pour que tout se déroule de la meilleure des manières. La communauté de la Maison générale et la structure du Salesianum vont bientôt terminer de préparer les salles.
 
À Turin le provincial, le Recteur de la Basilique, l’économe provincial, le père Luigi Basset, le père Aldo Giraudo et le père Andrea Bozzolo mettent au point les détails du pèlerinage qui du 23 au 25 conduira les capitulaires dans les lieux salésiens.
 
Le secrétariat opératif, coordonnée par le père Ezhanikatt Saimy et par le père Martin Taddeo, prépare les différents matériaux et programme l’utilisation des salles pour les réunions et les célébrations de groupe. Au père Julian Fox a été confiée la tâche de coordonner l’important service de l’interprétariat dans la salle et au père Chrys Saldanha celui de la traduction des textes écrits. Cela permettra aux salésiens n’ayant pas d’accès direct à l’italien de suivre les travaux avec profit.
 
Même ANS, qui poursuivra son service d’information ordinaire, se prépare à donner une couverture communicative de l’évènement adéquate et constante. Une édition hebdomadaire de la vidéo-information est en voie de préparation, qui fera le point du déroulement des travaux du Chapitre, en en approfondissant quelques aspects. Pour cette circonstance, on est en train d’installer dans la rédaction de ANS, en collaboration avec Missions Don Bosco - Media Centre qui produit les vidéos, une section de prise de vue et de montage vidéo.

Notre terre est en péril


Jamais l’équilibre de la nature n’a été autant menacé qu’aujourd’hui et ceci par l’homme appelé à «servir et à garder» la terre (Genèse 2,15). Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité cette responsabilité face à la terre s’impose de façon incontournable. Cette prière a été écrite par des Indiens américains pour la journée mondiale de la prière du 6 mars 1981.
 

 

Nous-tuons-la-Terre[1]


Toi dont la voix s’entend
dans le souffle de la brise,
Toi dont l’haleine donne vie au monde,
nous avons besoin de ta force et de ta sagesse.
Fais que nous marchions dans ta beauté,
que jamais nos yeux ne se lassent de contempler
les ors et les pourpres du soleil couchant.
Aide-nous à lire les messages que tu as cachés
dans les feuilles et les rochers.
Rends-nous sages, afin que nous saisissions
ce que tu nous as enseigné.
Fais que nous soyons toujours prêts à venir à toi
les mains propres et le regard clair.
Ainsi, quand la vie s’éteindra
comme s’éteint le soleil couchant,
sans honte, nos esprits pourront venir à toi.
Grand Esprit, transforme nos cœurs,
afin que nous n’enlevions jamais
à la beauté de ta création
plus que nous lui donnons.
Apprends-nous à ne jamais détruire à la légère
pour satisfaire notre avidité
à ne jamais oublier de prêter nos mains
pour édifier la beauté de la terre;
à ne jamais prendre
ce dont nous n’avons pas besoin.
Rends-nous capables de comprendre
que détruire la musique de la terre,
c’est créer la confusion, ruiner son apparence,
et nous rendre aveugles à la beauté.
Polluer son doux parfum par notre insouciance,
c’est en faire une maison de puanteur.
Mais, si nous prenons soin d’elle,
la terre prendra soin de nous.
 

Source: www.spiritualite2000.com

19 février 2008

GONFLE LES VOILES DE MA FOI

 
 voile

Donne-moi, Seigneur Dieu,
Le vrai sens des mots,
La lumière de l’intelligence
Et la foi en la vérité
Afin que ce que je crois
Je sache le dire aux hommes.
 
O, Seigneur,
C’est par la beauté
Que tu révèles ta grandeur.
Comme il est beau ton ciel
Tout clairsemé d’étoiles,
Et splendides ces astres
Dont l’éternelle mouvance
Figure ton éternité.
Quelle est belle la terre aux changeantes parures.
O Seigneur,
C’est à travers l’homme
Que tu révèles ton amour.
 
Seigneur, gonfle les voiles de ma foi
Pour que puisse prêcher partout le nom de Dieu.
Seigneur, délie ma langue
Pour que fasse honneur à ton saint nom.
Seigneur, éclaire mon esprit
Pour que je révèle à tous ceux
Qui l’ignorent ce que tu es, toi notre Père.
 
                                                          
                                                                                  Saint-Hilaire

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18 février 2008

Il ne suffit pas de parler…

 coucher-de-soleil
 
Ta Parole Seigneur, retentit en nos cœurs de chrétiens comme un appel. Nous nous savons chargés de mission. Une Eglise qui se fermerait sur elle-même serait un contre-témoignage.
 
On ne donne que ce que l’on a, on ne témoigne que de ce que l’on connaît. Avant d’être missionnaire, l’Eglise doit être contemplative.
 
Donner, c’est transmettre à quelqu’un. Tu nous envoies Seigneur, à des hommes dont tu connais les noms. Tu sais ce qu’ils sont en droit d’attendre de nous et ce que nous avons le devoir de leur donner. Donne-nous faim et soif de connaître et de bien connaître ceux à qui tu nous envoies. Donne-nous de comprendre l’attente de nos frères, de ne pas leur imposer un fardeau que nous ne pourrions porter nous-mêmes.
 
Donne-nous de travailler ensemble à ta mission. L’Eglise, pour être composée d’individus, est avant tout une famille. C’est ensemble, en famille, qu’il faut œuvrer à ton règne.
 
Témoigner, ce n’est pas seulement te dire aux hommes. Il faut cheminer avec eux. Ils ne te reconnaîtront à la fraction du pain que dans la mesure où, auparavant, nous aurons marché avec eux, fraternellement, loyalement, respectueusement.
 
Les hommes que nous avons à évangéliser ont une culture, ils sont marqués par le siècle où ils vivent. Il ne suffit pas de connaître les hommes. Il faut connaître les philosophies qui les imprègnent, les influences qu’ils subissent. Donne-nous, Seigneur, de savoir faire silence avant de donner. Fais de nous, Seigneur, des hommes de partage en esprit et en vérité.
 
Donne-nous de témoigner de ton amour pour tous les hommes en donnant priorité à ceux qui ont le plus besoin d’espérance et d’amour. Les pauvres, les malades, les vieillards et les agonisants en priorité.
 
Jean HARANG 

 

(Aube Nouvelle - février 2008)