04 novembre 2007

Marre, que faire ?

Au nom du libéralisme soit disant social qui parvient même à faire "bleuir les oranges après avoir vider les fruits rouges de leur saveur", nous avons le choix du renoncement ou du "dénoncement". Nous avons surtout une obligation. Celle de la vigilance car quelqu'en soient les couleurs, notre parti sera toujours celui des petits. L'Homme est une valeur sûre pour l'avenir. il est grand temps d'y investir intelligemment nos moyens !!!JE SOUMETS A VOS COMMENTAIRES CETTE REFLEXION symbole_orange_ciel[1]de Fernand Carrière (Farnières-Belgique) RECUE PAR MAIL. Comme si cela ne suffisait pas largement en tant que signes avertisseurs, tous ces dérèglements environnementaux que nous avons laissé provoquer par la croissance économique, la croissance, encore et toujours la croissance…à tout prix, comme si le monde, notre monde pouvait réellement et impunément croître économiquement, indéfiniment !Voici désormais que nous avons laissé - quel leurre - l’Europe nous piéger. Au nom du principe de liberté, noble en soi, nous avons accepté le beau slogan de la « libre concurrence », noble en soi, mais hérité, avec toutes ses déviances, du modèle dictatorial capitaliste américain (le plus gros producteur d’armements planétaire) : simultanément, nous avalions le poisson (lisons plutôt le poison) de la libéralisation. Un autre leurre. Une libre concurrence doit amener à faire baisser les prix des produits et services vitaux, de base : en visant l’humain dans une éthique de juste rémunération, et non l’inverse (cet inverse qui vise l’accroissement de richesse des détenteurs des capitaux de sociétés). Sans délocalisation, par conséquent, cette perversion qui conduit au néo-esclavagisme. Or, vous le lisez, vous l’entendez aujourd’hui plus que jamais : cette libéralisation viciée fait flamber tous les prix. Les prix des biens élémentaires de consommation, les biens vitaux. Nous et les pauvres. Personnellement, depuis des décennies, nous avons toujours (pu) gérer notre budget sans aucune dépense inconsidérée en bon père de famille, et en gérant exclusivement à bas taux les avoirs épargnés (en évitant soigneusement tous ces montages financiers destinés à espérer produire du gros rendement avec risque). Nos moyens s’amenuisent, évidemment.C’est révoltant, inacceptable, mais « vivable ».Tandis que pour des milliers de famille, et pour beaucoup de nos jeunes, en particulier, merci l’Europe, nous laissons fabriquer une pauvreté grandissante intolérable, et « invivable ». Ces milliers vont très prochainement devenir des dizaines de milliers en Belgique (et plus encore). Le service public - il faut libéraliser, il faut ! pourquoi ?? - est grignoté, et bientôt annihilé. Nous n’avons même plus de choix. J’ai écrit combien de fois, à combien de responsables…Leurs réponses démontrent qu’ils sont dépassés, ou plutôt qu’ils admettent de continuer à se laisser dépasser par le système engendré par eux et leurs pairs. Les minorités et les zones minoritaires, non suffisamment productives, sont délaissées ou alors, on demande à celles-ci de payer encore plus que là où les masses produisent plus facilement du rendement (transport d’énergie, transports publics, bientôt service postal,….) Sauf à poser des petits gestes de soutien ponctuels aux affamés, je suis perdu, ne sachant comment me comporter devant ces monstrueuses anomalies, ces inhumanités. Je veux tout de même crier. Résistons. Partageons nos désirs de résistance en les faisant connaître, avec l’espoir que les masses rugissant, nous soyons entendus, menaçant à la longue, mais rapidement tout de même, celles et ceux de nos responsables qui continuent de trouver normal le système établi. Une déferlante hurlante. Un hurlement sans couleur politique, bien sûr ! Un hurlement vital et global. L’argent au service de l’Humanité, comme le sabbat au service de l’Homme, et non l’inverse. Il n’y a plus une politique alentour qui ne soit (in)directement conduite par le pouvoir…de l’argent, ou qui acquiesce implicitement.Derrière la puissance, la mégalomanie de centaines d’hommes, toujours la force motrice de l’argent, toujours,…face aux milliards d’humains qui ne sont en quête que d’humanité. Je ne vous ai sans doute rien appris vraiment. Je suggère seulement de ne plus nous taire, vite, très vite. J’accueille toute réaction ou suggestion . Cordialement, Fernand.

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Etrenne 2008 : Eduquons avec le cœur de Don Bosco.

nous vous invitons à découvrir la nouvelle etrenne de notre Recteur Majeur. (suivez le lien que vous trouverez dans la rubrique "TISSER DES LIENS", dans la colonne de gauche. Vous pouvez également en télécharger le texte en cliquant directement sur l'image ci-après.Merci pour vos commentaires. chavez

acte de naissance : un regard nouveau !

Notre blog est créé et nous vous le confions. En effet, en ouvrant cet espace d'échanges, notre souhait est d'offrir un outil vous permettant de réagir et de vous exprimer sur les enjeux de notre société et en particulier sur le monde de l'éducation. Chrétiens et salésiens, nous avons a vivre une citoyenneté responsable. Au-delà des intérets particuliers des différents groupes de pression qui "occupent" l'espace public, tout en dépassant le simple débat politique et social, nous voudrions ainsi écrire une Parole pour aujourd'hui en exprimant toute la "modernité" de l'esprit salésien dans une société en état d'urgence d'Humanité. Nous pourrons aussi ouvrir le débat entre-nous et renforcer les liens qui nous unissent. Ce blog vous appartient. Merci de le mettre en vie. yeux de Don Bosco

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