18 juillet 2009

Seigneur, donne-nous ...





fondweb1





Seigneur, donne-nous un peu de soleil,
Un peu de travail et un peu de joie ;
Donne-nous, dans notre labeur et nos peines,
Notre pain quotidien et un peu de beurre ;
Donne-nous la santé et un juste salaire
Et même un peu plus, pour la part du pauvre.
Donne-nous du bon sens, car beaucoup en ont besoin,
Et un coeur qui compatisse à la souffrance.
Donne-nous aussi un brin de chanson sur les lèvres,
 Une poésie ou un roman pour nous distraire.
Apprends-nous à comprendre la souffrance
Sans y voir une malédiction.
Donne-nous, Seigneur,
L'occasion de montrer notre bonne volonté,
De faire notre possible,
Pour nous-mêmes et pour les autres
 Afin que tous les hommes apprennent à se conduire en frères.

 

Publié dans Prière | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer | |

17 juillet 2009

C'est la saison du jamais vu...

PICT0001 (3)

 


 

Aujourd'hui, Seigneur,
J'aimerais te dire : merci.
Merci pour la tendresse que tu me témoignes.
Ton amour n'est ni lointain, ni possessif.
Tu n'es pas un Dieu jaloux,
Et jamais tu ne t'imposes à moi.
Tu es là, comme quelqu'un qui attend, qui guette.
Et moi, naïf comme je suis,
J'imagine encore que c'est moi qui ai l'initiative,
Que c'est moi qui te choisis.
Or, c'est toi, mon Dieu, qui patiemment,
Me donnes le temps de répondre à ton appel.
Merci, pour tant de délicate gratuité.
Avec toi, on ne compte pas, on ne calcule pas.
Avec toi, c'est la saison du jamais vu, du jamais entendu.

 

 

Robert Riber

 

Publié dans Prière | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer | |

15 juillet 2009

Travail et tempérance : l'ascèse salésienne ...

Extrait de la  CHARTE DE COMMUNION DANS LA FAMILLE SALESIENNE

 



 

S5020454


 


Art. 24 Travail et tempérance

 


La pratique de la charité pastorale, inspirée par Dieu, exige la conversion et la purification, ainsi que la mort du vieil homme pour que naisse, vive et se développe l'homme nouveau qui, à l'image du Bon Pasteur, est prêt à donner sa vie pour ses brebis et à se sacrifier chaque jour dans le travail apostolique.


Travailler toujours jusqu'à la mort est le premier article du code salésien.


L'austérité est dans le comportement, la volonté de sacrifice, le détachement, non dans le ton de la vie.


On travaille, on tolère, on peine allègrement, parce que le cœur entre en tout, et que l'âme est tellement imprégnée de hauts idéaux et disposée à dépasser ce qui n'est pas nécessaire, que cela lui permet la plus grande désinvolture de mouvement et d'esprit.


Il ne faut pas rechercher des pénitences extraordinaires, mais seulement accepter avec sérénité les fatigues et les difficultés quotidiennes pour rester disponible à bien servir Dieu et les frères.


L'ascèse salésienne a divers aspects :

  • elle est une ascèse d'humilité pour n'être que des serviteurs devant Dieu ;
  • une ascèse de mortification, pour devenir maîtres de soi, savoir garder ses sens et son coeur et savoir refuser un style de vie commode ;
  • une ascèse de courage et de patience pour persévérer dans l'action même ;
  • une ascèse de dévouement quand les circonstances et les événements invitent à être plus proches du Christ crucifié.


Et la dernière forme, la plus belle, la gratuité, consiste à refuser de gémir, de faire voir qu'on renonce à quelque chose, en sachant, par contre, donner toujours avec joie.

 

14 juillet 2009

Prière pour le temps de l'été

PICT0085

 

Seigneur Jésus tu nous as dit :
« Que votre joie soit parfaite ! »
Que devons-nous faire pour parvenir à cette joie dont tu nous parles ?
Sans doute prendre conscience que tu nous aimes,
Chacun tels que nous sommes, avec nos faiblesses, nos défaites.
Tu nous guides sur tes chemins de Vérité grâce à ta Parole !
Et nous savons que toi seul sais où tu nous mènes !

Comment Seigneur, ferons-nous pour propager ta joie dans les cœurs
En ce temps d'été et de repos ?

Un sourire donné à une personne seule,
Un bouquet offert à quelqu'un qui ne reçoit jamais rien,
Une main tendue pour qu'elle soit tout accueil,
Un regard d'amitié offert comme un morceau de pain.
Oui, Seigneur, c'est au cœur des choses simples que ta joie se manifeste,
Pourquoi la cherchons-nous en vain dans ce qui est compliqué ?

 

                                            Brigitte Butez

 

Publié dans Prière | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer | |

13 juillet 2009

La maladie du bonheur !

 PICT0200

Attention ! Une épidémie mondiale est en train de se propager à une allure vertigineuse.

L'O.M.B. (Organisation Mondiale du Bien-être) prévoit que des milliards de personnes seront contaminées dans les dix ans à venir.

Voici les symptômes de cette maladie :

 

  • 1. Tendance à se laisser guider par son intuition personnelle plutôt que d'agir sous la pression des peurs, idées reçues et conditionnements du passé.
 
  • 2. Manque total d'intérêt pour juger les autres, se juger soi-même et s'intéresser à tout ce qui engendre des conflits.
 
  • 3. Perte complète de la capacité de se faire du souci (cela représente l'un des symptômes les plus graves).
 
  • 4. Plaisir constant d'apprécier les choses et les êtres tels qu'ils sont, ce qui entraîne une disparition de l'habitude de vouloir changer les autres.
 
  • 5. Désir intense de se transformer soi-même pour développer ses potentiels de santé, créativité et d'amour.
 
  • 6. Attaques répétées de sourire, ce sourire qui dit "merci" et donne un sentiment d'unité et d'harmonie avec tout ce qui vit.
 
  • 7. Ouverture sans cesse croissante à l'esprit d'enfance, à la simplicité, au rire et à la gaieté.
 
  • 8. Si vous voulez continuer à vivre dans la peur, les conflits, la maladie et le conformisme, évitez tout contact avec des personnes présentant ces symptômes.
 
  • 9. Cette maladie est extrêmement contagieuse. Si vous présentez déjà des symptômes, sachez que votre état est probablement irréversible. Les traitements médicaux chimiques peuvent faire disparaître momentanément quelques symptômes, mais ne peuvent s'opposer à la progression inéluctable du mal.
 
  • 10. Aucun vaccin anti-bonheur n'existe.
 
  • 11. Comme cette maladie du bonheur provoque une perte totale de la peur de mourir qui est le pilier central des croyances de la société matérialiste moderne, des troubles sociaux graves risquent de se produire, tels que grèves de l'esprit belliqueux, rassemblements de gens heureux pour chanter, danser et célébrer la vie, cercles de partage et de guérison, crises collectives de fou-rire.

 

 

Dr Christian Tal Schaller

Publié dans Général | Commentaires (0) |  Facebook | |  Imprimer | |