31 décembre 2011

Etrenne 2012

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« Je suis le bon pasteur, le vrai berger.
Le vrai berger donne sa vie pour ses brebis » (Jn 10,11)

 

A vous tous très chers  
Confrères, 
Filles de Marie Auxiliatrice, 
Membres de la Famille Salésienne 
Jeunes 

 

   Nous avons depuis peu commencé la période de trois années de préparation au Bicentenaire de la naissance de Don Bosco. Cette première année nous offre l’occasion de nous approcher davantage de lui pour le connaître de près et mieux. Si nous ne connaissons pas Don Bosco et ne l’étudions pas, nous ne pouvons pas comprendre son cheminement spirituel et ses choix pastoraux ; nous ne pouvons pas l’aimer, l’imiter et l’invoquer ; en particulier, il nous sera difficile d’insérer aujourd’hui son charisme dans la culture des divers contextes et des différentes situations. C’est seulement en renforçant notre identité charismatique que nous pourrons offrir à l’Eglise et à la société un service accompli pour les jeunes qui soit significatif et riche de fruits. Notre identité trouve sa référence immédiate dans la personne de Don Bosco ; en lui l’identité devient crédible et visible. C’est pourquoi le premier pas que nous sommes invités à faire pendant la période de trois années de préparation est précisément de connaître l’histoire de Don Bosco. 

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Don Chavez - Commentaire de l’Etrenne 2012

à lire également :
la lettre circulaire n°924 de présentation de l'Etrenne 2012 - Sr Yvonne REUNGOAT

 



A découvrir et à suivre également le blog DB 2015 animé par le père Paul Belboom

RECETTE POUR UNE ANNÉE NOUVELLE 2012 !!!

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Prendre 12 mois complets,
les nettoyer de tout ressentiment,
haine, colère et jalousie
pour les rendre aussi frais et propres que possible.

Maintenant,
couper chaque mois en tranches de 28, 30 ou 31 ...morceaux,
puis, tout doucement, incorporer dans chaque journée:
un zeste de courage...
une pincée de confiance...
une cuillère de patience...
une louche de travail......,
de persévérance et de force...
Y ajouter quelques gouttes de compassion et de compréhension.

Mélanger le tout avec de généreuses portions
d'espoir, de fidélité, de générosité et de douceur.
Assaisonner le tout avec un soupçon de rêves et de magie,
une bolée de rires et une pleine tasse de bonne humeur.
Verser maintenant la recette dans un grand bol d'amour
et pour terminer...
Décorer avec un sourire...
Servir avec tendresse...

 

Source Facebook – groupe « Le bonheur est contagieux : entourez-vous de visages heureux. »

 

 

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30 décembre 2011

Dieu, mon chemin

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Dieu, mon chemin,
ma part de pain !
Apprends-moi la bonté du silence,
l'espace nu du dedans
où s'accueille doucement
ta présence !
Dieu, mon chemin,
ma part de pain !
Que s'apaise la houle du jour,
que passe le murmure des mots
vers l'indicible lieu
d'où ta Parole retourne ma terre !
Dieu, mon chemin,
ma part de pain !
Ouvre mes mains,
creuse ma faim,
et si je te rejoins,
que ce soit en pèlerin !
Dieu, mon chemin,
ma part de pain…

et mon demain !

 

Francine CARILLO

 

 

 

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29 décembre 2011

Ces enfants là

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Ils sont si bien élevés, les gosses qui meurent de faim,
Ils ne parlent pas la bouche pleine,
ils ne gâchent pas leur pain,
Ils ne jouent pas avec la mie, pour en faire des boulettes,
Ils ne font pas de petits tas, au bord de leur assiette,
Ils ne font pas de caprice, ne disent pas ‘j’aime pas’
Ne font pas la grimace, quand on enlève un plat,
Eux, ils ne trépignent pas, pour avoir des bonbons,
Ils ne donnent pas au chien, le gras de leur jambon,
Ne courent pas dans vos jambes, ne grimpent pas partout,
Ils ont le cœur si lourd, qu’ils vivent à genoux,
Pour leur repas, ils attendent sagement,
Ils pleurent quelquefois, quand ça dure trop longtemps…

Non, non rassurez-vous, ils ne vont pas crier,
Ces petits enfants là, ils sont trop bien élevés,
Eux, pleurent sans bruit, on ne les entend pas,
Ils sont si petits, qu’on ne les voit même pas,
Ils savent qu’ils ne peuvent, rien attendre de leur mère,
Ils cherchent stoïquement, du riz dans la poussière,
Mais ils ferment les yeux, quand l’estomac se tord,
Quand la douleur atroce, irradie tout leur corps,
Non, non soyez tranquilles, ils ne vont pas crier,
Ils n’en ont plus la force, seuls leurs yeux peuvent parler,
Ils vont croiser leur bras, sur leur ventre gonflé,
Ils vont prendre la pose, pour faire un bon cliché…

Ils mourront doucement, sans bruit, sans déranger,
Ces petits enfants là, ils sont si bien élevés…

Auteur inconnu

 

 

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28 décembre 2011

COMME LE CUISINIER

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Seigneur, donne-moi l'espérance du cuisinier:
Il sait que notre appétit est infini
Et que la nature ne suffit pas à le satisfaire.
Il est plein d'imagination:
Ses yeux devinent d'invisibles couleurs,
Son nez frémit à des parfums inexistants,
Sa bouche salive pour des goûts imaginaires.
Il fait exister les rêves qui le font vivre.

Donne-moi l'amour du cuisinier:
Il se met à l'écoute du désir de chacun,
Il est en recherche perpétuelle
Pour nourrir non seulement le corps, mais aussi l'âme.
Sa nourriture, c'est la joie qu'il lit sur les visages.
Son travail est une silencieuse déclaration d'amour aux convives!

Donne-moi la foi du cuisinier
Quand il essaie de donner le meilleur de lui-même,
Quand il ose mettre en scène un plat de son invention,
Quand il ne laisse rien au hasard,
Sans pourtant être jamais sûr de savoir.

Jean-François Meurs sdb

 

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