12 mai 2013

QUAND TU CROYAIS QUE JE NE REGARDAIS PAS

Bonne fête à toutes les MAMANS !
(ce 12 mai en Belgique ... et le 26 mai en France)

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Quand tu croyais que je ne regardais pas,
Je t'ai vue placarder mon premier dessin sur le frigo,
Et j'ai vite voulu en faire un autre.
Quand tu croyais que je ne regardais pas,
Je t'ai vue donner à manger à un chat errant,
Et j'ai appris que c'est bien d'être bon envers les animaux.
Quand tu croyais que je ne regardais pas,
Je t'ai vue préparer pour moi mon gâteau préféré,
Et j'ai appris que les petites choses peuvent être importantes dans la vie.
Quand tu croyais que je ne regardais pas,
Je t'ai vue préparer un repas et le porter à un ami malade,
Et j'ai appris que nous devons nous soucier les uns des autres.
Quand tu croyais que je ne regardais pas,
Je t'ai vue prendre soin de notre maison et de ceux qui y vivent,
Et j'ai appris qu'il faut prendre soin de ce que l'on a reçu.
Quand tu croyais que je ne regardais pas,
Je t'ai vue faire face à tes responsabilités même si tu ne te sentais pas bien,
Et j'ai appris qu'en devenant grand, je devrai être responsable.
Quand tu croyais que je ne regardais pas,
J'ai vu couler des larmes de tes yeux,
Et j'ai appris que certaines choses font parfois souffrir, et qu'il est bon de pleurer.
Quand tu croyais que je ne regardais pas,
J'ai vu que tu étais préoccupée,
Et j'ai voulu être tout ce que je pouvais être.
Quand tu croyais que je ne regardais pas,
J'ai appris le plus grand nombre de leçons de vie qu'il me faudra savoir
+Pour être une personne bonne et utile lorsque je serai devenu grand.+
Quand tu croyais que je ne regardais pas,
Je t'ai regardée et j'ai eu envie de dire :
« Merci pour tout ce que j'ai vu

Quand tu croyais que je ne regardais pas ».

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11 mai 2013

Le sel de la terre

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L'Eglise étant tout entière missionnaire, et l’œuvre de l'évangélisation étant le devoir fondamental du Peuple de Dieu, le Saint Concile invite tous les chrétiens à une profonde rénovation intérieure, afin qu'ayant une conscience vive de leur propre responsabilité dans la diffusion de l'Evangile, ils assument leur part dans l’œuvre missionnaire...

Comme membres du Christ vivant, auquel ils ont été incorporés et configurés par le baptême ainsi que par la confirmation et l'eucharistie, tous les fidèles sont tenus de coopérer à l'expansion et au développement de son Corps, pour l'amener le plus vite possible à sa plénitude (Ep 4,13).

C'est pourquoi tous les membres de l'Eglise doivent avoir une vive conscience de leur responsabilité à l'égard du monde, nourrir en eux un esprit véritablement catholique et dépenser leurs forces pour l’œuvre de l'évangélisation. Cependant, que tous le sachent, leur premier et leur plus important devoir pour la diffusion de la foi, c'est de vivre profondément leur vie chrétienne. Car leur ferveur au service de Dieu, leur charité à l'égard des autres apporteront un nouveau souffle spirituel à l'Eglise tout entière, qui apparaîtra comme un signal levé pour les nations (Is 11,12), « la lumière du monde », et « le sel de la terre ». Ce témoignage de la vie obtiendra plus facilement son effet s'il est donné conjointement avec d'autres groupements chrétiens, selon les prescriptions du décret sur l'œcuménisme.

Concile Vatican II
Décret sur l’activité missionnaire de l’Eglise (Ad Gentes), 35-36

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10 mai 2013

Comme nous pardonnons

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« Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés » (Lc 11,4) 

      Chaque soir, avant de vous endormir, vous devez faire votre examen de conscience (car vous ne savez pas si vous serez encore de ce monde le lendemain !). Quel que soit le mal que vous avez fait, vous devez vous engager à réparer si c'est possible. Si, par exemple, vous avez volé quelque chose, essayez de le rendre. Si vous avez froissé quelqu'un, essayez de vous en excuser sans délai. S'il est impossible de réparer, exprimez à Dieu vos regrets ou vos remords. C'est très important, car nous devons être capables de contrition pour être rendus capables d'amour. Vous pourriez dire, par exemple : « Seigneur, je suis navré de t'avoir offensé et je te promets de faire de mon mieux pour ne plus recommencer ». Alors, tout à coup, quelle impression de bien-être, de délivrance, que de sentir son cœur purifié ! Souvenez-vous que Dieu est miséricorde. Il est notre Père prévenant, prêt à tout pardonner et à tout oublier, à la condition que nous essayions d'en faire autant envers ceux qui nous ont fait du tort.

      Examinez donc le fond de votre cœur pour voir s'il n’y demeure pas enfouie quelque rancune envers votre prochain. Comment, en effet, pourrions-nous demander à Dieu de nous pardonner, alors que nous ne voulons pas pardonner aux autres ? Souvenez-vous que si vous vous repentez vraiment avec un cœur généreux, vos fautes seront oubliées aux yeux de Dieu. Il vous pardonnera toujours si votre repentir est sincère. Priez donc pour pardonner à ceux qui vous ont offensé, pour aimer ceux que vous n'aimez pas, et sachez ensuite pardonner comme Dieu vous a pardonné.

Mère Teresa

 

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09 mai 2013

Repartir du Christ

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« Le Seigneur Jésus fut enlevé au ciel et s'assit à la droite de Dieu. Et eux, ils s'en allèrent prêcher en tout lieu, et le Seigneur agissait avec eux » (Mc 16,19-20)

Repartir du Christ : « Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin du monde » (Mt 28,20). Cette certitude, chers frères et sœurs, a accompagné l'Église pendant deux mille ans... Nous devons y puiser un élan renouvelé pour notre vie chrétienne, en en faisant la force inspiratrice de notre cheminement.  C'est dans la conscience de cette présence du Ressuscité parmi nous que nous nous posons aujourd'hui la question adressée à Pierre à Jérusalem, aussitôt après son discours de la Pentecôte : « Que devons-nous faire ? » (Ac 2,37)

Nous nous interrogeons avec un optimisme confiant, sans pour autant sous-estimer les problèmes. Nous ne sommes certes pas séduits par la perspective naïve qu'il pourrait exister pour nous, face aux grands défis de notre temps, une formule magique. Non, ce n'est pas une formule qui nous sauvera, mais une personne, et la certitude qu'elle nous inspire : « Je suis avec vous ! »

Il ne s'agit pas alors d'inventer un nouveau programme. Le programme existe déjà : c'est celui de toujours, tiré de l'Évangile et de la Tradition vivante. Il est centré, en dernière analyse, sur le Christ lui-même, qu'il faut connaître, aimer, imiter, pour vivre en lui la vie trinitaire et pour transformer avec lui l'histoire jusqu'à son achèvement dans la Jérusalem céleste... Il est toutefois nécessaire qu'il se traduise par des orientations pastorales adaptées aux conditions de chaque communauté... C'est dans les Églises locales que l'on peut fixer les éléments concrets d'un programme qui permettent à l'annonce du Christ d'atteindre les personnes, de modeler les communautés, d'agir en profondeur par le témoignage des valeurs évangéliques sur la société et sur la culture... C'est donc une œuvre de reprise pastorale enthousiasmante qui nous attend. Une œuvre qui nous implique tous.

Bienheureux Jean-Paul II (1920-2005), pape
Lettre apostolique pour le nouveau millénaire « Novo millennio ineunte », §29 (trad. © Libreria Editrice Vaticana)

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08 mai 2013

Je vous salue Marie

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Ne t'imagines jamais
que ce soit là synonymes inévitables,
rosaire et monotonie…
Chaque «Réjouis-toi Marie»
peut être unique.

Quand tu salues Notre-Dame,
contemple à chaque fois
une de ses vertus,
une de ses gloires,
une de ses splendeurs…

Et quand tu dis le «Sainte Marie»
n'as-tu pas, au moins,
cinquante souffrances à présenter
à l'auguste mère de Dieu
à la Mère de l'Humanité? 

DOM HELDER CAMARA

Prier Marie en Mai :

 

 

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