04 février 2010

Du fond de l'abîme.

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Même si je suis au fond d'un abîme, je crie vers toi Seigneur.
Je sais que tu m'entends. Ton oreille est toujours attentive à ma prière.
 
Si tu faisais attention à nos fautes, personne ne tiendrait debout devant toi.
Heureusement, nous savons que ton cœur pardonne,  il pardonne toujours.
 
C'est ton pardon qui nous émerveille, il est très impressionnant.
Voilà pourquoi je ne crains pas la venue du Seigneur, je l'attends, je l'espère.
 
Je compte sur Dieu parce que je sais qu'il tient parole.
Je compte sur Dieu comme un veilleur compte sur l'aurore.
 
Le Seigneur est l'aurore de son peuple.
C'est lui qui fera lever sur nous tous le soleil de sa miséricorde qui seule peut nous sauver.
                                                                            
 (Louis SINTAS)
 
 
 
                      Jésus le Christ, lumière intérieure,
                           Ne laisse pas mes ténèbres me parler,
                           Jésus le Christ, lumière intérieure,
                           Donne-moi d'accueillir ton Amour.
 


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03 février 2010

Père, en ce jour ...

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Père, en ce jour, qu'il est bon de t'appeler de ce nom familier et simple que Jésus nous a révélé. 

Père, comme je voudrais tout au long de ce jour te faire connaître à ceux qui m'entourent. 

Comme je voudrais que tu prennes de plus en plus de place dans ma vie.

Comme je désire faire ce qui te plaît et non ce qui me plaît. 

Père, j'ouvre la main pour recevoir de toi le pain de ce jour et je t'en remercie. 

Donne-moi la joie de savoir pardonner, car toi mon Père, si riche en miséricorde, tu m'as pardonné tant et tant de fois. 

Ne permets pas qu'aujourd'hui je m'éloigne de toi ni que je doute de toi dans l'épreuve. 

Fortifie-moi par la puissance de ton Esprit pour que je devienne ton enfant, à l'image de Jésus qui m'a donné cette folle audace de t'appeler mon Père et de croire que tu l'es réellement. 

En tout ce que je vivrai, accorde-moi de te voir et de te servir, mon Père des cieux.

                                                             

(Danielle FLORIGNY)

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02 février 2010

Est-il vrai, Seigneur, que tu crois encore en moi ?

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Est-il vrai, Seigneur, que ton cœur bondit de joie quand je décide de remonter la pente, de tourner le dos à mes impasses, de repartir sur une autre route, de reprendre le chemin de la vérité ?

Est-il vrai, Seigneur que tu crois encore en moi quand moi-même, désabusé, je n'ose plus me regarder ?

Est-il vrai, Seigneur, que tu ne te lasses jamais d'aimer, que tu n'as aucune envie de me condamner, mais que tu désires, infiniment, passionnément, me voir heureux, heureux d'être un homme, heureux d'être ton fils ?...

Seigneur, tu le sais, j'ai tout essayé pour t'oublier. Je voulais être moi-même ! Sans avoir de compte à rendre à personne. Je voulais tout, sans contrainte, être libre, libre, libre... 

Mais, à quoi bon tricher ! Je n'ai pas trouvé le bonheur que je cherchais.

Pourquoi étais-je si malheureux, dégoûté de moi-même, des autres et du monde ? J'avais soif d'autre chose, mais de quoi ? Etait-ce de toi, mon Dieu et mon Père ?

Mon enfant, il te manquait mon amour. Mais ce soir, oublions le passé ; tu es revenu à la maison, prends un bain, mets une chemise propre, détends-toi, apaise-toi, viens la soupe fume sur la table.

Si tu savais mon enfant, combien de fois je suis venu frapper sur les volets clos de ton cœur, combien de fois, je t'ai attendu au bout de tes impasses, guettant le moindre signe de ton retour ? Si tu savais, mon enfant, combien je suis heureux, ce soir, de te revoir, là, près de moi, vivant !

                                                     

(Prier les paraboles de Michel HUBAUT)

01 février 2010

La corde raide.

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Don Bosco est sur un fil.
Il a les bras étendus pour ne pas tomber.
Des jeunes le regardent. Il a le sourire...
 
Don Bosco sur un fil, c'est là toute la symbolique de notre vie salésienne qui est de prendre des risques, même s'ils sont calculés, d'oser aller d'un côté à l'autre sous le regard amusé ou anxieux des personnes qui nous regardent.
 
Nous avons besoin de cet équilibre à l'instar du paralytique qui prend son grabat et marche pour affronter les défis de demain.

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