23 janvier 2018

Entre tes mains

180122.jpg

Il faut choisir: s'ouvrir ou se fermer.

Tous ceux qui sont sans amour t'attendent,
car Dieu n'a d'autre cœur
que le tien pour les aimer.
Car Dieu n'a d'autres mains
que les tiennes pour les soulager,
ni d'autres oreilles pour écouter leur souffrance,
ni d'autres yeux pour voir leur solitude et pour pleurer,
ni d'autres sourires que le tien pour les accueillir.

Et la vie, ce court passage
entre ta naissance et ta mort,
n'aura de sens que si tu aimes.

Il faut choisir, il faut choisir d'aimer !
Tout est '' entre tes mains '' !

Ch. et M. Fontaine

Voir la vidéo du jour ►   et   notre soleil du jour ►

 

Publié dans Général | Commentaires (1) |  Facebook | |  Imprimer | |

Commentaires

Merci !

" Dieu n' a d' autres mains que les nôtres "
- Georges Bernanos -
" Être capable de trouver sa joie dans la joie de l' autre,
voilà le secret du bonheur "
- Georges Bernanos -

Connaissez- vous ce texte de Anthony Bloom , moine orthodoxe ?

L' ICÔNE ENDOMMAGEE


A moins de regarder une personne et de voir la beauté en elle, nous ne pouvons l’aider en rien. On n’aide pas une personne en isolant ce qui ne va pas chez elle, ce qui est laid, ce qui est déformé.

Le Christ regardait toutes les personnes qu’il rencontrait, la prostituée, le voleur, et voyait la beauté cachée en eux. C’était peut-être une beauté déformée, abîmée, mais elle était néanmoins beauté, et Il faisait en sorte que cette beauté rejaillisse.

C’est ce que nous devons apprendre à faire envers les autres. Mais, pour y parvenir, il nous faut avant tout avoir un cœur pur, des intentions pures, l’esprit ouvert, ce qui n’est pas toujours le cas... afin de pouvoir écouter, regarder et voir la beauté cachée.

Chacun de nous est à l’image de Dieu, et chacun de nous est semblable à une icône endommagée. Mais si l’on nous donnait une icône endommagée par le temps, par les événements, ou profanée par la haine des hommes, nous la traiterions avec tendresse, avec révérence, le cœur brisé. C’est à ce qui reste de sa beauté, et non à ce qui en est perdu, que nous attacherions de l’importance. Ainsi, nous devons apprendre à réagir envers chacun...

Anthony Bloom moine orthodoxe extrait de la revue "Ombres et Lumière", n° 114, juin 1996

Très belle journée !

Écrit par : Myriam de Terwangne | 23 janvier 2018

Répondre à ce commentaire

Les commentaires sont fermés.