28 février 2014
ULTREIA …
ULTREIA … TOUJOURS PLUS OUTRE ! …TOUJOURS PLUS LOIN !
Cette image à été prise à l’entrée de Giscaro (fort de ses 84 Giscarolais), un minuscule village du Gers, situé entre L’Isle-Jourdain et L’Isle Arné, au bord de la voie d’Arles.
Evangile de Luc Chapitre 2 Verset 40
« Or, l'enfant croissait et se fortifiait. Il était rempli de sagesse, et la grâce de Dieu était sur lui. »
Les pèlerins des temps passés, disaient souvent pour se donner du courage, comme pour se fortifier : ULTREIA … Allons de l’avant !
Allons au delà de nos ténèbres et de nos doutes, pour marcher à la lumière de la foi et celle de la sainteté !
Quittons tout ce qui nous rend esclave, pour aller vers la liberté !
Détournons-nous du mensonge, pour n’accepter que la vérité !
Renonçons à nos mentalités de pauvre, et ouvrons nos cœurs à la prospérité !
Fuyons le compromis, pour n’accepter que l’intégrité !
Nos faiblesses, nos maladies, notre détresse et tout le reste,
acceptons l’idée, que tout dorénavant est terminé !
acceptons l’idée, que tout dorénavant est terminé !
Nos a priori, nos fantasmes, nos idées toutes faites, nos certitudes, saurons-nous les dépasser !
Laissons derrière nous la haine, la colère, la critique, pour ne tolérer que l’amour, la douceur et la paix !
ULTREIA … Toujours plus outre ! Toujours plus loin !
Toujours plus haut ! Toujours plus beau !
Par la pensée ou par la marche, nous irons tous à SANTIAGO !
Toujours plus haut ! Toujours plus beau !
Par la pensée ou par la marche, nous irons tous à SANTIAGO !
C’est notre vocation à tous … Comme elle est celle aussi, de toute l’humanité !
Michel SIMONET.
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Nous venons de publier notre lettre d'infos.
Vous pouvez la consulter en suivant ce lien : InfoCoopBelsud - Février 2014
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27 février 2014
LA TERRE
Que dire de la terre, ce paradis que Dieu nous a offert ?
Elle fut jadis égayée de vert, et aujourd’hui envahie de déserts.
Ce monde qui était fertile, nous l’avons rendu stérile,
En voulant le perfectionner, nous l'avons génétiquement modifié.
Une des délicatesses naturelles, qui a le doux nom de miel,
Obtint le nom de rare espèce, car ses ouvrières disparaissent.
De nos repas, nous faisons des festins,
alors que nos frères africains sur leurs tables ne découvrent rien,
et ne peuvent apaiser leur faim.
alors que nos frères africains sur leurs tables ne découvrent rien,
et ne peuvent apaiser leur faim.
Nous nous plaignons de tous les faits et nos voisins cherchent la paix.
Nous ne faisons rien contre la guerre qui extermine nos frères.
Nous étions libres de nos sentiments,
nous sommes devenus esclaves de l’argent
qui passe avant toute générosité face à tous les déshérités.
nous sommes devenus esclaves de l’argent
qui passe avant toute générosité face à tous les déshérités.
Quand ouvrirons-nous les yeux pour redevenir heureux ?
Quand de notre mémoire, le passé sera pour toujours effacé ?
Verdinha
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26 février 2014
Donne-nous du souffle !
Donne-nous du Souffle Seigneur,
afin que nous puissions laisser derrière nous ce qui encombre et retarde et qu’ainsi, nous soyons plus libres pour mieux accueillir Ta Parole et en vivre pleinement.
Donne-nous du Souffle Seigneur,
afin que nous puissions aimer sans compter et oser vivre concrètement notre foi.
Donne-nous du Souffle Seigneur,
afin que nous osions partager le pain de justice avec les privés de dignité,
et donner de l’espérance à ceux et celles qui se sentent condamnés aux larmes et à la souffrance.
Donne-nous du Souffle Seigneur,
afin que nous puissions joyeusement rendre visible ton amour aux hommes et aux femmes qui ne demandent qu’à être soutenus et encouragés dans leur vie humaine.
Donne-nous du Souffle Seigneur,
afin que nous entrions dans l’avenir, non pas à reculons, mais comme dans un avenir où Dieu nous attend.
Ainsi nous serons porteurs d’Évangile. Ainsi nous serons « passeurs de vie ».
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25 février 2014
Un sourire, une larme
Un sourire
Une larme
Décidèrent un jour de se rencontrer
Séduits l’un par l’autre de leurs charmes
Ils étaient très intimidés
Tous les deux se côtoyaient
Depuis si longtemps déjà
Sans jamais s’être présentés
On ne sait pas pourquoi
D’émotions ils tremblaient
L’une enlacée à son cil
Pour ne pas mouiller son voisin
L’autre se mordant les lèvres
N’en ramenant pas moins
Viens me voir dit le sourire
J’ai besoin de ta pureté
Moi
Lui répondit la larme
J’ai soif de ta gaieté
Me vois-tu briller là-haut
Dans ton regard
Oui répondit la goutte d’eau
Prise d’un soudain cafard
N’en pouvant plus d’impatience
Elle glissa sur la joue en toboggan
Fébrile et en transe
Le sourire
Rayonnait de toutes ses dents
Les retrouvailles
Arrivèrent à point
Teintées toutefois d’un goût salé
Se dévoilant de tous leurs effets
En fait ils n’étaient pas aussi différents
Qu’ils ne l’avaient imaginé auparavant
Car derrière un sourire
Se cache parfois une douleur
Et derrière une larme
Jaillit aussi le rire du cœur.
Hélène Sayen
Les Fulgurances d’Arial 11
Poésies Initiatiques et Ludiques
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24 février 2014
Bienheureux !
Bienheureux ceux qui ont choisi de vivre sobrement pour partager,
ou qui risquent de s’appauvrir en investissant pour créer des emplois,
car ils se comportent fraternellement comme des fils de Dieu.
Bienheureux les banquiers, les commerçants et les courtiers
qui ne profitent pas de la pénurie pour augmenter leurs gains,
même de façon légale, car ils savent où est leur vrai trésor.
Bienheureux les hommes politiques ou syndicaux
qui s’attachent à trouver des solutions réalistes au chômage,
car ils vivent une fraternité étendue.
qui s’attachent à trouver des solutions réalistes au chômage,
car ils vivent une fraternité étendue.
Bienheureux serons nous quand nous cesserons de dire :
« Si je ne tire pas profit de la situation, un autre le fera » ;
quand nous cesserons de penser :
« Quel mal y-a-t-il à frauder puisque tout le monde le fait ? »
car la vie en société sera alors une anticipation du bonheur du royaume des Cieux.
Paul Abelo
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