08 septembre 2009
Don Bosco au quotidien - L'humanisme
Salésiennement vôtre, Jean Thibaut
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07 septembre 2009
Don Bosco au quotidien : la patience

On imagine toujours les saints selon un schéma identique, une attitude sainte, les mains jointes, la tête bouclée déjà auréolée, sage, obéissant, miséricordieux pour les copains. Douce illusion ! Je crois que Jean Bosco a été le champion du "tout, tout de suite", cher à nos jeunes aujourd'hui. Il voulait des oiseaux à lui. Quoi de plus simple que de les dénicher malgré les conseils de Maman Marguerite. Celle-ci, fille de la terre, avait un sens éducatif inné et savait profiter de toutes les occasions pour instruire et éduquer ses fils et en particulier son "préféré", Jean bien qu'elle les aimait tous les trois. Le vilain dénicheur fut pris à son piège en restant coincé dans sa chute, suspendu à son arbre. Les oiseaux, il les aimait mais le désir de possession était plus fort et puis il pouvait s'en servir pour d'autres fins: les faire chanter, Dieu qui les avait munis d'un tel don d'égayer la nature par leurs chants, et aussi satisfaire sa nature éducative en les faisant répéter, sous les regards ébahis des copains, ce qu'il leur apprenait. Maman Marguerite, la leçon donnée savait positiver les moindres "défauts" et lui suggérer de choisir de bons copains. C'est ainsi qu'il fit la connaissance de Louis COMMOLO. Au collège, Jean le bagarreur était subjugué par les propos de son copain et les deux amis inséparables trouvèrent ensemble comment s'améliorer dans la sainteté. Louis hélas, mourut et avait promis à Jean de venir lui dire s'il était bien sauvé, ce qu'il fit, à la grande frayeur de tout un dortoir effrayé par ce qu'il entendait, ce qui confirma le chemin pris par Jean.- Etre patient, pour moi, c'est ... Savoir s'oublier pour laisser place à l'autreAttendre le moment idéalSavoir respecter le rythme de chacunRegarder, observer, pour tendre vers son objectifAccepter que chacun réagisse autrementAccepter un moment en prévision d'un meilleurPasser au travers,...
Salésiennement vôtre, Jean Thibaut
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06 septembre 2009
ballotin du dimanche 6 septembre
"La main de Dieu est amiable au maniement de notre coeur, elle a de la dextérité pour nous communiquer sa force sans nous ôter notre liberté..." (TAD II, 12)
"... car aussi ne faut-il pas seulement avoir la parole douce à l'endroit du prochain, mais encore toute la poitrine, c'est-à-dire tout l'intérieur de notre âme." (IVD 3, VIII)
"... ne permettez jamais à votre âme qu'elle s'attriste ni vive en amertume d'esprit, ou en scrupule, puisque celui qui l'a aimée et qui est mort pour la faire vivre, est si bon, si doux, si aimable." (Lettre à une Dame 1617 n°1360)
"... ne demandez rien et ne refusez rien ... laissez-lui faire car Dieu est une bonne mère qui sait mieux ce qu'il vous faut que vous-même." (Entretien sur les fondations)
"Pourquoi nous aimons-nous nous-même de charité ? C'est parce que nous sommes l'image et ressemblance de Dieu." (PAR)
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05 septembre 2009
"c là rang trait" (c'est la rentrée !)
Avec la découverte de notre nouvelle présentation de nos diaporamas au départ de notre site, nous vous invitons à tourner les pages de ce journal spécial "rentrée" que nous envoie Frédérique Borne...
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04 septembre 2009
Mettre son coeur ... en balade

On peut vivre sans richesse,Presque sans le sou.Des seigneurs et des princesses,Y-en-a plus beaucoup.Mais vivre sans tendresse, on ne le pourrait pas.Non, non, non, non : on ne le pourrait pas. On peut vivre sans la gloireQui ne prouve rien.Être inconnu dans l'histoireEt s'en trouver bien.Mais vivre sans tendresse, il n'en est pas question.Non, non, non, non : il n'en est pas question. Quelle douce faiblesse,Quel joli sentiment,Ce besoin de tendresseQui nous vient en naissant.Vraiment, vraiment, vraiment. Le travail est nécessaire,Mais s'il faut resterDes semaines sans rien faire,Eh bien... on s'y fait.Mais vivre sans tendresse, le temps vous paraît long,Long, long, long, long : le temps vous parait long. Dans le feu de la jeunesse,Naissent les plaisirs,Et l'amour fait des prouessesPour nous éblouir.Oui mais sans la tendresse, l'amour ne serait rien.Non, non, non, non : l'amour ne serait rien. Quand la vie impitoyable,Vous tombe dessus.On est plus qu'un pauvre diable,Broyé et déçu.Alors sans la tendresse, d'un coeur qui nous soutient,Non, non, non, non : on n'irait pas plus loin. Un enfant vous embrasse,Parce qu'on le rend heureux.Tous nos chagrins s'effacent,On a les larmes aux yeux.Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu... Dans votre immense sagesse,Immense ferveur,Faites donc pleuvoir sans cesse,Au fond de nos cœurs,Des torrents de tendresse pour que règne l'amour...Règne l'amour... jusqu'à la fin des jours.
une chanson de BOURVIL
et n'hésitez pas à la fredonner !
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