11 avril 2014

CHERCHEZ ET VOUS TROUVEREZ

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Quand le Christ te rencontre,
Tu ne t’y attends pas.
Tu rêves, tu vis, tu cours,
Sans savoir où parfois.
Et puis un jour tu sens que le Christ est là.
 
Il est sûrement venu quand tu n’l’attendais pas
Il t’a peut-être fait signe et tu n’le voyais pas.
Son souffle imprévisible est descendu sur toi
Et dépose en ton cœur cette brise qui fait revivre.
 
Mais si le Christ arrive, qu’il sent que tu es là
Pour accueillir de lui le brasier de la foi,
Il allume une flamme et ne l’éteindra pas. 
Précieuse, tellement fragile,
Peut-être qu’elle vacillera, mais chaque jour
Dans ta vie, patiemment tu pourras la nourrir
D’huile de paix, de pardon et de joie
En pressant tendrement les fruits du Christ amour.
 
Ecoute sa parole et elle t’éclairera, fais confiance
Laisse germer les graines qu’elles plantent en toi.
 
La récolte sera riche, car oui tu répondras
Et le Christ Vivant viendra porter sa croix
Comme toi tu as porté celle de l’attente,
De la peur, que ta vie ne sache plus prendre un sens.
 
Mais le Christ nous dit «Cherchez et vous trouverez »
 
Florence Melon, France
 

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10 avril 2014

SI VOUS VOUS SENTEZ INUTILE

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Si vous vous sentez inutile, n’ayez crainte, les lys des champs le sont aussi, ainsi que les oiseaux du ciel, et bien des nocifs coûtent plus cher à la société que vous.
 
Si votre seule tâche aujourd’hui est de regarder l’arbre devant l’arbre chez vous, soyez-en fier.
Vous avez sans doute été le seul à le faire et cet arbre doit être regardé puisqu’il est là.
 
La vie est un cahier dont chaque jour tourne une feuille. Le matin vous écrirez au bas de la page encore blanche ce petit mot : Amen.
 
Et au-dessus de cette signature, laissez s’écrire les lignes de votre journée avec leurs pleins et leurs déliés.
 
Et votre consentement ôtera à ce jour son poison d’amertume.
 
Vous saurez que les heures de votre vie sont portées par Quelqu’un qui les veut pour vous.
Faites-lui crédit ; faites-lui confiance.
 
Texte d’Alain HOUZIAUX,
tiré de « Paraboles au quotidien »
Ed. du Cerf/Foi vivante, 1995
 
 

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09 avril 2014

MES VIEUX HABITS

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J’ai laissé mes vieux habits,
Mes habits de péché,
Mes habits du passé,
Et j’ai revêtu des vêtements nouveaux…
Pour Toi, je m’habille de fête !
 
Maintenant, mon cœur peut changer.
Comme si je devenais un enfant nouveau.
Tel un vêtement usé,
Le passé est quitté.
Pour Toi, Seigneur, je m’habille de fête.
 
Je t’aime, Seigneur Jésus.
Et le plus bel habit sur moi,
C’est ton amour.
 
Charles Singer   
 
 
 
 

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07 avril 2014

Prisonnier

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Un homme prisonnier est un homme en guerre. Il n’y aura donc jamais de paix possible sans la liberté. Se borner à demander la paix, c’est essayer de guérir le symptôme sans soigner la maladie. Ceux qui ne connaissent pas la liberté ne peuvent connaître la paix.

Seigneur, délie les chaînes qui retiennent prisonniers tant de peuples au monde.

Incite les hommes libres et ceux qui les gouvernent à agir concrètement en faisant pression pour peser sur les choix des tyrans au pouvoir. Même si ces pressions ne leur apportent aucun bénéfice.

Fais que les peuples qui aiment la liberté se battent sous une seule bannière, afin d’étendre à toute la planète le droit à la liberté.

C’est ainsi, seulement ainsi, que les motifs de guerre les plus sordides disparaîtront et que le merveilleux rêve de la paix pourra concrètement se transformer en réalité. 
 
Lore Dardanello Tosi.
 
 

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06 avril 2014

Tu seras toujours mon meilleur

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Seigneur,
Je ne te le dis pas assez souvent, mais je t’aime.
 
Je t’aime parce que je sais que tu m’aimes,
et cela me comble de joie.
 
Je t’aime aussi parce que tu ne me laisses jamais tomber,
même quand moi, je te laisse tomber.
 
Tu es un ami fidèle qui ferme les yeux sur mes bêtises
mais jamais sur mon cœur.
 
Je t’aime encore parce que tu m’as choisi,
avec mes qualités et mes limites,
pour travailler à ton projet d’amour.
 
Tu m’as fait confiance
jusqu’à vouloir avoir besoin de moi.
 
Je t’aime enfin
parce que tu veux bien que je vive avec toi pour toujours.
 
Oui, vraiment, ton amour va bien plus loin
que tout ce que j’aurais pu imaginer ou désirer.
 
Tu seras toujours mon meilleur.
 
Jules Beaulac – Ed Paulines 1984
 
 

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